Ce soir sur Thalassa : Jacques Moal et ses Petits matins de la Couette de plumes

Ce vendredi 15 février 2013, Jacques Moal, pour qui nous avons réalisé la mise en pages de son livre Les Petits matins de la Couette de plumes, passe sur Thalassa !

Il s’agit du reportage « Un jour à la mer », qui présente les passions de plusieurs Bretons : « Chacun s’immerge à sa façon dans le plaisir et l’émotion de faire partie de la nature », annonce le sommaire. Cette phrase s’applique à merveille à l’ami Jacques, qui photographie chaque matin devant sa porte le soleil, la mer, le ciel.

Pour en savoir plus sur Les Petits matins de la couette de plumes, voir l’article déjà publié sur ce blog.

Pour les détails sur l’émission de ce soir, voir sur france3.fr

Pour commander le livre de Jacques Moal, allez sur photolegende.com

Un logo, des déclinaisons…

Un logo, pour moi qui ne suis pas graphiste, c’est un nom et/ou une image qui deviennent un signe de reconnaissance pour une entreprise ou une marque, un signe différenciant.
Plus précisément, les graphistes vous diront qu’un logotype (oui les graphistes parlent plus volontiers de « logotype » que de « logo »), c’est normalement juste le nom de l’entreprise (ou de la marque) écrit en une certaine typographie. Une dérive souvent (parfois?) judicieuse fait que souvent les logos sont accompagnés d’une forme, d’une représentation qui renforce leur symbolique. Mais attention à ce dernier point ; il ne faut pas confondre logotype et image. Le logo ne comportera pas toutes les valeurs de l’entreprise, c’est son utilisation qui participera à l’image. Il ne faut pas s’enfermer dans son logo. A ce sujet, je me souviens de l’appel d’offre d’une grande ville qui avait sollicité Expression pour travailler sur son nouveau logotype : le logo devait « représenter »  la pierre de la région, la cathédrale, la mer et d’autres choses encore… de quoi bien motiver les graphistes… Bref.

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Privilégier la lisibilité et la mise en valeur de l’information
Voici un logotype qui vient d’être validé par notre client Carnet de Jardin.
Julie, graphiste chez Expression depuis presque 10 ans, a conçu un logotype qui se décline en deux versions, voire plus : « Pour moi, on peut presque décliner un logotype à chaque utilisation. L’essentiel est de privilégier la lisibilité et la mise en valeur de l’information. Par exemple, le logotype principal de Carnet de jardin comporte le nom, une forme végétale, une base-line le tout dans un graphisme « étiquette de jardin ». On peut tout à fait envisager de n’exploiter que le nom seul ou une version réduite ne comportant que le nom, la base-line. Dans le cas de la version dite « réduite », on peut imaginer qu’elle pourra être accompagnée de la forme végétale, qui viendra soutenir, rappeler, renforcer le logotype. On peut l’imaginer flottante avec une ombre, sans dénaturer le sens. Tout dépend de l’outil de communication. Nous adapterons le logo en fonction du support (site internet, flyer…) et aussi aux contraintes techniques de la fabrication qui ne sont pas les mêmes sur internet, sur des supports papier, sérigraphiés…, avec toujours comme objectif de privilégier la lisibilité ! »

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Carnet de jardin est une entreprise tout juste créée en octobre par Elodie Seité-Joly, paysagiste-conseil. Elle propose de concevoir votre jardin et de vous le proposer clé en mains. Mais pas seulement, elle propose aussi de vous aider dans la réalisation de votre jardin, ou d’un coin mal exploité. Elle peut, par exemple, juste vous accompagner chez un pépiniériste ou une jardinerie, vous aider à choisir les végétaux adaptés à votre jardin (exposition, terre…) et à votre disponibilité. Elle peut vous expliquer comment les tailler… Elle peut se charger de prendre contact avec les artisans pour les travaux (terrasse, allées…). Elle peut aussi vous conseiller pour quelques aménagements de votre jardin avant la vente de votre propriété (le fameux « garden-staging »). Bref, une prestation sur-mesure pour tout ce qui concerne votre jardin.
Voir aussi le site internet de Carnet de jardin, en cours de réalisation par l’agence Expression, pour le moment (31 octobre 2012) une simple page d’attente.

Cécile Le Meur, conceptrice-rédactrice.

Les vœux d’une agence qui se mouille

Pour nos vœux, nous avons tendance à être bavards…

Nous demandons à nos clients, fournisseurs et partenaires un gros effort de lecture. Effort récompensé par quelques « bonbecs », c’est notre tradition depuis une dizaine d’années. Vous n’avez pas eu les vôtres ? Dépêchez-vous de passer nous voir : il en reste !

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Ça le prend chaque année début janvier, ça doit être un excès de vacances : Pierre rassemble l’équipe pour une réunion au sommet.
— Bon, vous savez qu’il va falloir songer à nos vœux ?
— (…) x 4
— Non mais, arrivés le 10 janvier, va falloir vraiment que l’on y pense, les filles. Notre stratégie, c’est d’être les derniers à le faire, mais avant le mois de juin, quand même !
— Ouaih, mais qu’est ce qu’on va faire cette année ?
Julie sursaute :
— Oh, on n’a qu’à offrir des bonbecs ! Hein, c’est bien des bonbecs ? Quand est-ce qu’ils arrivent, qu’on les goûte ?
Pierre intervient :
— Oui, c’est bien les bonbons, mais si je vous ai réunies, ce n’est pas pour parler bonbons, mais “message”, Julie, il nous faut un message !
Malou se lance :
— Ben, on pourrait parler de ce que l’on fait, de ce que l’on propose.
Malou est très vite coupée par Cécile :
— Ce n’est pas très original… Et puis, il faut faire attention, si on dit que l’on fait des plaquettes, des sites internet, des vidéos, des trucs et des machins, ça fait un peu homme-orchestre…
— Tiens, homme-orchestre, c’est bien, ça, comme image ?
Laura lève le nez :
— Oh ben non, ça fait un peu manipulateur !
— Manipulateur ? résonnent les quatre voix de Pierre, Malou, Cécile et Julie.
— Ben oui, un chef d’orchestre avec sa baguette, c’est un peu manipulateur.
— Mais on ne te parlait pas de chef d’orchestre, mais d’homme-orchestre !
— Oh, on peut se tromper ! Ça fait pas un peu ringard, un homme-orchestre ? Je ne vois pas le message du tout.
— Ben si ! Un homme-orchestre, ça joue de l’harmonica, du mirliton, du ukulélé, de la cymbale… Comme nous, on fait des plaquettes, des sites internet, des magazines, des vidéos, du packaging, des panneaux, des roll-up…
— Ouais et alors ?

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— Ben, l’homme-orchestre, il n’a pas de costard-cravate, il ne fait pas de cérémonie, mais il bosse, il invente, il se mouille ! Nous, on ne raconte pas de salades à nos clients sur la stratégie multiscreen, le social CRM, le story-telling et compagnie, on leur parle français, Madame ! On ne va pas leur proposer des trucs et des machins qui vont dans tous les sens, on cherche à faire une communication qui fonctionne !
— Ah ouaih, l’homme-orchestre n’a pas beaucoup de prétentions et au final, il sait toujours se placer là ou il faut, tout le monde le regarde et l’écoute !
— Tiens, c’est comme notre communication culinaire. Y’en a qui vont faire des recettes super-prétentieuses avec des ingrédients que personne n’a, et d’un compliqué ! Comme s’il s’agissait de remporter le concours de la photo culinaire la plus maniérée ! Alors que nous, on pense à l’objectif de départ. Si c’est « faire acheter de la tomate » ou « faire acheter du saumon », on va faire une recette simple, une photographie naturelle qui donnera envie de cuisiner la tomate ou le saumon, et d’en acheter !
— Tu sais que l’on pourrait parler des relations presse ? C’est un peu similaire. Nous, on ne fait pas dans les mondanités, ce n’est pas notre carnet d’adresses qu’on met en avant. On travaille davantage sur le contenu. On sait ce qui intéresse le journaliste puisque l’on est confronté aux mêmes problématiques rédactionnelles, alors on lui fournit un contenu efficace qui a toutes les chances de lui rendre service.
— Pareil pour la vidéo : on ne fait pas des films pour le plaisir d’appliquer les derniers effets spéciaux à la mode, on se situe davantage dans l’écriture d’un scénario qui marche et qui répond à la stratégie de communication.

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Pierre reprend les choses en mains, il n’aime pas trop quand on part dans le bla-bla (et pourtant, lui, quand il commence, hein, bon…) :
— Vous vous éparpillez, là, les filles. Ne pas oublier que l’important, c’est qu’on conjugue les outils de comm’ de nos clients, qu’on les fait fonctionner ensemble. Je dis toujours qu’on ne se contente pas de faire des « sites internet », ni des « plaquettes », on fait de la communication, ça va du logo à la page Facebook de l’entreprise, de la rédaction du contenu à la réalisation d’une présentation multimédia, et même jusqu’à la décoration des locaux de l’entreprise. On est là pour veiller à ce que tout fonctionne, dans le détail, depuis le choix des mots jusqu’au positionnement du logo sur la signalétique… Ça oui, on fait de tout, mais jamais n’importe quoi ! Bon, Cécile, tu t’occupes de la carte de vœux avec cette idée-là et zou…
Et là, Malou, avec ses grandes jambes, file à son poste, très vite suivie de Julie et Laura. Pierre est déjà au studio. Cécile n’en revient pas, elle tient son crayon d’une main toute molle sur une feuille toute… blanche.
« Cette idée-là ? »
Pas question de déranger Malou, elle monte une vidéo, casque sur les oreilles. Julie a la tête dans son nuancier Pantone. Cécile s’approche de Laura pour tenter une conversation mais elle coupe court : “Attends, parce que là, je suis en train de faire un css dynamique pour les templates de mon site, alors…”
Cécile écrit un peu tout ce qui lui passe par la tête :
« Expression c’est comme un chef d’orchestre, qui coordonne, met en exergue les talents complémentaires de chacun… »
Pierre revient de ses prises de vues en studio : “Alors, ces vœux, c’est prêt ?”
Cécile lui tend ses petits brouillons.
— Mais c’n’est pas du tout ça qu’on avait dit. On avait parlé d’homme-orchestre !
— Mais non, Laura, elle avait dit que l’homme-orchestre, ce n’était pas terrible.
— Mais après on était revenu à l’homme-orchestre.
— Oui mais moi, je suis allée répondre au téléphone à un client, je n’ai pas suivi l’affaire. C’est bien le client, la priorité dans cette entreprise, non ?
— Ouaih, bon, imprime ce que tu as fait, un dessin et zou…
— Un dessin ? Ah ça non !
— Bon ben, vois avec Laura, elle sait dessiner, elle. Et tu donnes le tout à Julie ou Malou pour la mise en pages.

— Oui, ben bon, hein, de toute façon, les clients, y’a que les bonbecs qui les intéressent…

clown-voeux

Les personnages évoqués dans cette saynète
existent bel et bien, mais ils n’ont en réalité
aucun des défauts et travers
ici évoqués.
Ils sont compétents, à l’écoute, passionnés
et investis dans leur travail.
Ah, si, si.
Si.
ils partagent quand même
un petit péché bien réel :
un goût immodéré
pour les bonbecs
et
autres
lichouseries…

Nouveau site en ligne : Biosem.fr, plants de légumes Bio

Biosem produit des plants de légumes, certifiés Bio, à destination des agriculteurs et maraîchers Bio de Bretagne et de l’Ouest de la France.

Produire ces plants en godets et mini mottes, prêts à être plantés en condition de culture (serre ou plein champ) suppose une technologie aboutie et une gestion du climat très élaborée.

Le site présente les différents outils de l’entreprise (serres, serre cabriolet, aires extérieures, lignes de semis…), ainsi que la très large gamme de plants de légumes Bio proposés : les plants issus de serre froide (poireaux, salades, choux, oignons, plantes aromatiques…) et les plants issus de serre chaude (tomate, concombre, courges, aubergine…).

Biosem, production de plants de légumes Bio

Biosem, production de plants de légumes Bio