Le Responsive design : exemple avec le site plant-echalote.fr
L’OBS* a choisi de réaliser un site internet pour promouvoir la culture de l’échalote et les variétés qu’elle propose. Elle a confié ce travail à Expression et le site vient d’être mis en ligne :
Le site a été conçu en responsive design.
Comme vous êtes nombreux à ne pas visualiser ce qu’apporte le responsive design, voici donc un exemple en images.
Je pourrais (enfin, pas sûre, mais mes collègues oui) vous parler de CSS3, de CMS, de templates et terminal mais je vais ici être très simpliste.
Le responsive design, c’est une conception du site différente en fonction du matériel qui sera utilisé par l’internaute : ordinateurs, tablettes, téléphones.
En fonction du matériel, le site s’affichera donc différemment, apportant un confort optimisé de la navigation. Ça donne cela :
Pour l’agence, le responsive design implique des développements spécifiques, des différents styles… Comment va t-on disposer les éléments pour qu’ils soient vus (et lus) sans avoir besoin de zoomer et dézoomer sans cesse, sans avoir besoin d’aller de droite à gauche pour visualiser l’ensemble du contenu de la page ? En responsive, on privilégie la navigation à la verticale. On imagine l’internaute en train de découvrir un site alors qu’il est dans le RER et on supprime le maximum de choses qui viendraient perturber la navigation et la lecture des informations. Il doit être séduit certes, mais il doit avoir accès à une navigation efficace : il scrolle de haut en bas (il fait défiler les écrans) et accède aux informations. Pas le temps d’attendre qu’une page se charge pendant 10 secondes, tout cela pour faire apparaître une petite coccinelle qui circule sur une photo. Elle est jolie cette petite coccinelle mais là, il n’a plus le temps d’attendre qu’elle passe, il veut avoir accès au contenu… A ce sujet, on sent là aussi une réelle évolution des attentes. Et si ces attentes se concentraient davantage sur le contenu ? Tiens tiens, c’est drôle cela. Et si Expression était dans le vrai depuis 25 ans ? Tiens, tiens…
Cécile Le Meur