8 février 2014 | La vie d'Expression
L’agence Expression est désormais partenaire solidaire du trimaran Maxi 80 Prince de Bretagne.
Partenaire d’une aventure exceptionnelle, d’une aventure fabuleuse dont nous vous parlons aujourd’hui seulement car ces derniers jours nous retenions notre respiration.
Rappelons l’histoire, au cas où ces péripéties vous auraient échappé :
Le 17 janvier 2014, le skipper Lionel Lemonchois s’élance à la barre du trimaran Prince de Bretagne pour battre le record de traversée Port-Louis (Morbihan) – Port-Louis (île Maurice).
Pendant dix jours, il file à très grande vitesse, son avance est plus que prometteuse.
Le 27 janvier, Lionel Lemonchois déclenche sa balise de détresse : au large des côtes du Brésil, le Maxi 80 Prince de Bretagne a chaviré.
Lionel est légèrement blessé à la main, sans gravité. Il décide alors de rester à bord pour diriger les opérations de sauvetage du bateau.
Il va attendre ainsi attendre dix jours dans la coque centrale du bateau retourné. DIX JOURS !
Aujourd’hui, tout se passe bien : le trimaran a été retourné par l’équipe arrivée sur place, il est actuellement remorqué vers le Brésil, Lionel se repose à bord du remorqueur.
Pour suivre les aventures du trimaran :
www.facebook.com/MaxiPrinceDeBretagne
www.voile.princedebretagne.com/

20 janvier 2014 | Non classé
L’OBS* a choisi de réaliser un site internet pour promouvoir la culture de l’échalote et les variétés qu’elle propose. Elle a confié ce travail à Expression et le site vient d’être mis en ligne :

Plant-echalote.com
Le site a été conçu en responsive design.
Comme vous êtes nombreux à ne pas visualiser ce qu’apporte le responsive design, voici donc un exemple en images.
Je pourrais (enfin, pas sûre, mais mes collègues oui) vous parler de CSS3, de CMS, de templates et terminal mais je vais ici être très simpliste.
Le responsive design, c’est une conception du site différente en fonction du matériel qui sera utilisé par l’internaute : ordinateurs, tablettes, téléphones.
En fonction du matériel, le site s’affichera donc différemment, apportant un confort optimisé de la navigation. Ça donne cela :

Plant-echalote.com en responsive design
Pour l’agence, le responsive design implique des développements spécifiques, des différents styles… Comment va t-on disposer les éléments pour qu’ils soient vus (et lus) sans avoir besoin de zoomer et dézoomer sans cesse, sans avoir besoin d’aller de droite à gauche pour visualiser l’ensemble du contenu de la page ? En responsive, on privilégie la navigation à la verticale. On imagine l’internaute en train de découvrir un site alors qu’il est dans le RER et on supprime le maximum de choses qui viendraient perturber la navigation et la lecture des informations. Il doit être séduit certes, mais il doit avoir accès à une navigation efficace : il scrolle de haut en bas (il fait défiler les écrans) et accède aux informations. Pas le temps d’attendre qu’une page se charge pendant 10 secondes, tout cela pour faire apparaître une petite coccinelle qui circule sur une photo. Elle est jolie cette petite coccinelle mais là, il n’a plus le temps d’attendre qu’elle passe, il veut avoir accès au contenu… A ce sujet, on sent là aussi une réelle évolution des attentes. Et si ces attentes se concentraient davantage sur le contenu ? Tiens tiens, c’est drôle cela. Et si Expression était dans le vrai depuis 25 ans ? Tiens, tiens…
Cécile Le Meur
10 décembre 2013 | Conseils internet
Beaucoup d’entreprises aujourd’hui ont leur page Facebook. Pour certaines, il s’agit juste d’être présent, on en profite, même si ça ne rapporte pas grand chose, parce que c’est gratuit. Pour d’autres — grandes ou petites —, c’est un véritable outil de communication, voire même un outil de vente.
Rappelons le principe : votre entreprise crée sa « page », elle peut avoir des « fans », autrement dit des gens qui viennent dire qu’ils aiment votre page.
Il ne vous reste plus qu’à y publier des articles, des actus, des photos qui vont entretenir les liens que vous tissez avec vos fans. Par exemple, vous publiez la photo d’un nouveau produit, vos fans reçoivent l’info dans leur fil d’actualité. Ils peuvent signifier qu’ils aiment cette photo (like), ils peuvent aussi la partager, c’est-à-dire que leurs amis la recevront à leur tour dans leur fil d’actualité. Ainsi, vous pourrez très rapidement — si vos infos sont intéressantes — acquérir de nouveaux fans.
Oui mais voilà.
Facebook est une entreprise et souhaite gagner de l’argent, oups, je voulais dire monétiser ses services.
Eh bien nous y voilà : dans un premier temps, Facebook a commencé à trier. Tous les articles publié sur les pages n’étaient plus distribués à tous les fans. Ben non, il y avait trop d’informations, ça aurait fini par gêner les fans, expliquait Facebook.
Dans le même temps se développait une possibilité d’atteindre davantage de personnes sur Facebook : la publicité. Vous payez Facebook, votre info est diffusée à tous vos fans, et à des milliers d’autres personnes.
Aujourd’hui, c’est officiel : « Facebook confirme la baisse de son reach », comme on dit dans les milieux bien informés. Le reach, c’est le ratio entre le nombre de fans d’une page et le nombre de personnes atteinte par l’info qu’elle publie. Le but est clair : il s’agit d’augmenter les dépenses publicitaires des entreprises sur Facebook.
La stratégie se dévoile (en fait, elle était évidente) : pendant quelques années, on attire le chaland, la publicité gratuite ça fait toujours plaisir aux entreprises. Puis une fois qu’on a bien accroché le client, on commence à le faire payer.
Prenons quelques exemples : Coca-Cola (76 millions de fans), Levi’s (20 millions), Renault (plus d’1,5 million sur ses différentes pages), Hermès (presque 1,5 million), Club Med (1 million), Quick (500 000), Maggi (près de 400 000) Futuroscope (330 000) ne peuvent plus se permettre d’abandonner leurs pages qui sont le lieu de dialogue, de conversation avec le public, avec leurs consommateurs.
Bien joué, Facebook !
Les petites entreprises
favorisées par Facebook
Notons un fait qui nous intéresse particulièrement : il se chuchote que les pages ayant plutôt peu de fans sont favorisées, avec un « reach » plus élevé. Facebook pense ainsi créer une dépendance et attirer de nouveaux clients.
Alors, que faire ? Eh bien il faut en profiter :
- Oui, il faut faire la page Facebook de votre entreprise.
- Oui, il faut y mettre du contenu intéressant concernant votre entreprise.
- Éventuellement, il faut y dépenser un peu d’argent en publicité.
L’agence Expression est à votre disposition si vous avez besoin d’aide pour créer, animer, développer votre page Facebook.
En savoir plus :
l’avis d’une agence conversationnelle
Pour en savoir plus, un article fort intéressant de Sandrine Plasseraud, directrice générale de We are social France : « Facebook confirme la baisse de son reach« .
Et si le sujet vous intéresse, ne manquez pas la vidéo présentée dans cet article, réalisée par le journal du net : malgré les questions un peu banales des journalistes, Sandrine Plasseraud parvient à nous décrire la communication conversationnelle, la communication d’aujourd’hui. Quelques citations :
Aujourd’hui, les marques ne peuvent plus communiquer uniquement de façon descendante comme elle l’ont fait pendant des années.
La conversation, c’est beaucoup mieux que l’interruption.
Sur la base d’un investissement média équivalent, du contenu de qualité génère un plus fort niveau d’engagement et se propage plus rapidement et touche ainsi plus d’utilisateurs.
Le contenu devient ainsi le «carburant» conversationnel. Ainsi l’investissement des marques en contenu de qualité devient d’autant plus important qu’il leur permet d’optimiser leurs investissements média.
4 octobre 2013 | La vie d'Expression

20 ans d’existence, c’était bien. On avait fêté cela.
Et le temps passe… Et voilà que déjà, Expression existe depuis 25 ans.
25 ans, c’est sûr c’est une occas’ pour boire un coup et manger un bout. Nous l’avons notre prétexte !
Et voilà, jeudi 3 septembre, nous avons fêté notre anniversaire en compagnie de nos clients, de nos relations, des gens-que-l’on-aime-bien-travailler-avec* et tout et tout… C’était bien, même qu’à un moment on a eu peur de pas avoir assez de soup’ pour tout le monde.
Mais si, y’en a eu assez pour tout le monde. Notre chef Amaury’s kitchen avait tout prévu. Même sa minette est venue pour notre plus grand plaisir. Et tout le monde a ainsi pu apprécier le buffet : crevettes & épinards façon thaï, Coco de Paimpol AOC, moules & chorizo, brochettes magret snacké & mariné au vinaigre de riz noir-miel-soja, carrot cakes & glaçage au creamcheese…
Bon, nous, on est content. Nous avons juste hâte aux 30 ans.
Merci à vous tous qui êtes venus. Nous sommes tous les cinq frustrés de ne pas avoir pu parler avec chacun d’entre vous. Pas facile comme exercice mais on a fait comme on a pu. Merci aussi pour vos délicates attentions.
Pierre, Malou, Julie, Laura et Cécile.
* Petite précision pour Mickaël : Oui, ce langage parlé, c’est fait exprès !

Le cocktail des 25 ans d'Expression